LA FILATURE, c'est un magasin de laine de fibres naturelles (laine, mohair, angora, alpaga, bambou, chameau etc ) et de produits finis faits par des artisans français et irlandais. Les produits sont naturels et dans le respect des animaux.

LA FILATURE, c'est un musée avec des machines centenaires qui appartenaient à mon arrière grand père ! Patrimoine familial et culturel puisque il n'existe presque plus de filature de laine en France.
La pure laine naturelle
Des laines de qualité, de fibres nobles, naturelles, fabriquées par des artisans amateurs de leur métier.

Les couleurs, le toucher, les mélanges de fibres, la douceur, le rendu, le respect de l'artisan et de la provenance des laines font de la boutique un endroit où la qualité prône, ainsi que les prix de tous les produits, à la fois attractifs et compétitifs.

Un atelier à visiter

C’est en parcourant les ruelles bordées de pittoresques demeures des XVet XVIeS au bord de la Neste que vous passerez sous la porte Sainte-Quitterie, vestiges des anciens remparts de la cité et que vous arriverez tout naturellement en vue de l’atelier de la filature de Chantal Mazières.

Accueillis par un Patou

Un gros Patou des Pyrénées viendra vous accueillir à l’entrée, précédant un petit bout de femme à l’allure sympathique et énergique.
Energique et persévérante, ce n’est pas trop de le dire en parlant de Chantal.

L'histoire de l'entreprise

Chantal, petite dernière d’une fratrie de trois filles a su, déjà toute petite qu’elle était faite pour prendre la succession de son père, qui l’avait prise du sien, qui lui-même l’avait hérité du sien ; donc trois générations d’hommes forts s’étaient succédés à la filature de Sarrancolin avant que Chantal ne montre le bout de son nez et fasse des pieds et des mains pour arriver à ses fins.

Des teintes naturelles 

La laine travaillée dans sa filature provient de la toison des brebis locales de la vallée d’Aure : les Auroises et les machines ou cardeuses ont été spécialement conçu pour cette fibre là, moyennement frisée. Cette ancienne race locale a d’ailleurs ses adeptes et l’association « Halte-là » installée à Bagnères-de Bigorre la revalorise et motive les éleveurs de brebis pour qu’elle ne se perde pas.
Chantal, avec son savoir-faire ancestral, ne fabriquait que des laines de qualité dont il lui reste encore un peu de stock.
Elle obtient un fil de couleur naturelle grise, beige ou marron  en mélangeant dans un battoir la laine écrue des brebis blanches avec celle des brebis noires (le burel ou bure) et ce, sans aucun ajout de teintures chimiques.